L’école Shorei-kan
« L’école pour le respect de la courtoisie et des bonnes manières »
L’école Shorei-kan a été fondée à Okinawa par Maître Seikichi Toguchi en 1953. Elle s’appuie sur une méthode pédagogique qu’il a développé à la suite de son maître, Sensei Chojun Miyagi.
Fruit d’une vie de travail, cette méthode a pour but d’enseigner le karaté Goju ryu. Sa particularité est de s’adresser à un très large public, quels que soient sa culture, son âge, son sexe ou ses prédisposition… L’un des objectifs de Sensei Toguchi était notamment de créer un système d’enseignement du karaté traditionnel qui soit adapté à la pensée occidentale.
Le système Shorei-kan propose une formation complète et progressive qui peut mener tout individu à pratiquer un karaté de très haut niveau. La richesse de son programme et de ses outils intéresse aussi bien un débutant adulte ou enfant qu’un pratiquant de niveau avancé.
Ancré dans les principes du karaté traditionnel ancien, le Shorei-kan cultive ses valeurs : la courtoisie, l’humilité, le pacifisme, le courage, le partage,… et a pour ambition de former des hommes et des femmes de caractère, libres et forts dans leur vie quotidienne.
Transmission
En 1974, Sensei Willy Fruchout et Sensei Marion Fruchout ont rencontré Maître Toguchi et le Shorei-kan à l’occasion d’un stage à Montluçon qu’il dirigeait avec son assistant Sensei Suekichi Naito.
Elèves de Sensei Naito depuis cette date, les Sensei Fruchout ont régulièrement effectué de longs séjours au Japon pour se former dans les dojos de Maître Naito et de Maître Toguchi. Basés à Périgueux, en Dordogne, ils sont aujourd’hui responsables du Shorei-kan en occident en collaboration avec Sensei Naito.